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Baromètre annuel - Les Français et le déménagement en 2021 N°2


L'Officiel du déménagement, comme chaque année, publie son baromètre sur le déménagement en France réalisé en partenariat avec Opinion Way en Août 2021.

Baromètre sur le déménagement - Août 2021 


L'Officiel du déménagement réalise chaque année un sondage OpinionWay sur le déménagement. Voici le dernier en date du mois d'Août 2021 réalisé sur un échantillon de 1010 personnes représentatif de la population française agée de 18 ans et +.

Découvrez les résultats ci-dessous.

Infographie réalisée à partir du sondage OpinionWay d'Août 2021 sur les Français et le déménagement :


infographie-2-barometre-demenagement.png

<a href="https://www.officiel-demenagement.com/l-entreprise/relations-presse/barometre-annuel-2021"><img src="https://www.officiel-demenagement.com/OD/bannieres-rp/infographie-2-barometre-demenagement.png" /></a>

La météo donne envie aux Français de déménager



Après une année rythmée par les restrictions de déplacement et un été particulièrement maussade, l’envie de déménager pour profiter d’un climat plus doux est notable. Près d’un tiers des Français aurait envie de déménager à cause du climat de leur région (32%).
> Les Français qui habitent dans des régions au climat moins favorable, comme c’est le cas dans le Nord-Est, sont plus désireux de déménager dans un endroit plus chaud ou plus ensoleillé (50%, soit un écart de 18 points avec la moyenne).
> Par ailleurs, les personnes ayant des enfants de moins de 18 ans au sein du foyer auraient plus envie de déménager du fait de la météo (45% contre 25% pour les personnes n’ayant pas d’enfants), probablement pour offrir à leurs enfants un cadre qu’ils jugent plus agréable pour grandir.

S’ils doivent chercher le soleil, les Français aimeraient le faire en France. 25% aimeraient déménager dans une région française plus chaude ou plus ensoleillée, contre 7% qui choisiraient un pays étranger offrant les mêmes conditions. Les régions qui les attirent le plus sont dans le sud ou dans l’ouest de la France : la Nouvelle Aquitaine (19%), la région Occitanie (12%), la région PACA (12%). Dans le détail des villes, La Rochelle se distingue en première position (8%), suivie par Ajaccio (6%), par Biarritz (5%), Aix-en Provence (5%) ou encore Toulouse (5%).
> Les jeunes de 18-24 ans, qui ont moins de contraintes professionnelles et familiales, sont plus attirés que la moyenne par les pays chauds étrangers (15%, écart de 8 points par rapport à la moyenne).

Si la météo est un critère important dans le choix de déménager, il n’est pas le seul puisque 20% des Français ont envie de déménager pour d’autres raisons. Par exemple, Paris fait partie du Top3 des villes préférées pour déménager, probablement du fait des opportunités professionnelles qu’elle offre. Dans la précédente étude réalisée en mars 2021 pour L’Officiel du déménagement, un Français concerné sur deux déclarait être prêt à déménager pour saisir une opportunité professionnelle, scolariser ses enfants dans un meilleur établissement ou encore suivre/rejoindre son compagnon*.
> Les Franciliens pourraient notamment déménager pour d’autres raisons (36%, écart de 16 points avec la moyenne).

Néanmoins, près d’un Français sur deux n’a pas envie de déménager pour l’instant (47%).
> Les Français qui ne souhaitent pas déménager vivent généralement dans des régions ensoleillées situées dans le Sud de la France (57%) ou ont un attachement particulier à certaines régions avec une identité forte comme la Bretagne (75%).

*Etude OpinionWay pour l’Officiel du déménagement- L’impact de la crise sanitaire sur les déménagements - mars 2021

Emménager avec des personnes non-vaccinées, une possibilité qui divise les Français



Lorsque l’on demande aux jeunes âgés de 18 à 30 ans s’ils pourraient envisager une colocation avec une personne qui ne souhaite pas être vaccinée contre la Covid-19 : ils sont presque autant à l’envisager (53%) qu’à y être réfractaires (47% ne pourraient pas). Il en va de même pour leurs parents, dans des propositions similaires : 53% l’accepteraient, 46% ne le feraient pas.
> Les jeunes résidant en Ile-de France, c’est-à-dire dans une zone marquée par une forte tension immobilière et des prix particulièrement élevés, sont plus ouverts à l’idée d’une colocation avec des personnes non-vaccinées (57%). Les jeunes peu diplômés (inférieur à Bac+2 : 65%) ou dont les revenus mensuels du foyer sont plus faibles (inférieurs à 2000€ : 57%) seraient également plus enclins à envisager cette option que les autres (44% de potentiels colocataires parmi ceux qui ont des revenus mensuels supérieurs à 2000€, 35% parmi les détenteurs d’un diplôme égal ou supérieur à Bac+2).

En revanche, les personnes qui ne sont pas directement concernées par la situation – et donc plus éloignées des réalités qui concernent l’accès au logement des jeunes aujourd’hui, sont beaucoup plus réticentes à la colocation avec des personnes non vaccinées. Seules 37% des personnes qui n’ont pas 18-30 ans et qui n’ont pas d’enfant de cet âge y seraient favorables. La peur de la Covid-19 prend ainsi plus d’ampleur parmi ces personnes chez qui n’existe pas les mêmes préoccupations économiques et financières.
> Logiquement, les personnes vaccinées ou qui en ont l’intention sont particulièrement réticentes (31% l’envisageraient) à l’inverse des personnes non-vaccinées et qui n’en ont pas l’intention (73% l’envisageraient).

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